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Anonyme

11 octobre 2009

Nouvelle année scolaire.. Nouvelles désilusions, troubles et perditions

 
2576_140003970695_793785695_6192142_466570_nUne impression que tout se barre, que ma vie va là où elle ne devrait pas aller. Que tout ce qui arrive est un échec...
Nombres de soirées ratées qu'on ne compte même plus sur les doigts de la mains.. Même s'amuser est devenu difficile..!
Je me rend compte que je ne suis plus qu'une loque, qui s'ennerve contre tout, se dispute contre tout le monde. J'essaie de tout contrôler mais ne contrôle en réalité plus rien. Je met tout ça sur le compte du Karma, un karma qui semble ben mauvais.. Pourquoi, qu'ai je fais ?!

Grandir, pourquoi grandir rime t-il avec refléchir. Je me revois il y a 2 ans, voir même qu'un..vivre ma vie tout simplement, ne pas réfléchir..Qu'est ce que ça engendra dans mon futur ? Est ce une bonne idée ? Vais je trop loin ? Vais je me détruire ? Commencer à réfléchir au futur, alors qu'on c'etait toujours dis qu'on ne devait penser qu'au présent.

J'ai l'impression de perdre mes repères, perdre tout ce que j'ai toujours aimé.
Ma mère part travailler loin, je mécroule en larme en annoncant ça de maniere anodine à une copine.. et si ça me touchais plus que je ne pensais..? et si devenir une grande fille ne me plaisait pas tant que ça ?

J'ai recommencé avec Thomas..
On a tous cru que ça marcherai, même moi j'ai réussi à y croire. Et puis bim, de nouveau scénario identique, retour arrière exacte..Pas une faille, toujours pareil. Fouine, conversation conprométante, pauline, doute, ennervement, dispute, amour, reconciliation...
"Je ne veux plus de lui reprend le, eloigne le de moi, qu'il ne revienne plus jamais"..!
Si tout pouvais s'arrêter là.
Il l'aime et l'aimera toujours, où c'est ce que je me dis pour que ce soit plus facile. Je ne sais si je l'aime où si le fait de me sentir dans une histoire digne d'un film dramatique qui me plais même plus que l'amour. J'aime donc soufrir. ou pas, mais pourtant mes faits et gestes n'arrivent à prouver le contraire !

Un besoin que tout change, eloigner ce sentiment de déprime.. Cette impression d'être maudite, que plus rien ne va jamais bien aller.
Je me rend compte que la vie ne peut ne pas toujours être une partie de plaisir, et ça me fait peur. J'aimerai arrêter de réfléchir et juste avancer, j'ai l'impression de devenir comme la masse qui se pose des problème pour rien, et déprime sans raison, et ce n'est plus qu'une impression semble t-il, je suis comme ça.

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4 mars 2009

THOMAS. Ce prénom.. qui, en quelques semaines a

THOMAS.

Ce prénom.. qui, en quelques semaines a représenter beaucoup de chose, trop de chose même.
UN MOIS, un mois de bonheur ? Irons nous jusque là ? Quand je relis mes phrases, que ce soit ici où sur d'autre feuilles, je me rends compte que je n'étais sur de rien, et le bonheur n'était peut être pas le mot dominant.. Pourtant maintenant, le mot, celui qui représente tout, est, le MANQUE..! Un manque de toi, un manque de nous. Des habitudes prisent bêtement, et si rapidement.
Tu m'as fais mal, tu m'as même fais pleurer, moi qui pensais être bien trop forte pour un jour pleurer aussi ouvertement devant un homme, et d'autant plus à cet age là. Mal au cœur, mal partout même. Un sentiment de honte, de bêtise. Qu'ai je fais ? Pourquoi suis je là ? Pourquoi m'as tu fais t'aimer ?!
POURQUOI JE SOUFFRE !
Tu as choisi, et ce n'est pas moi qui ai gagné. Pauline...Lucile. Un fossé enorme, tu joue avec nous, manipulateur ! Vile calculateur. Je te hais et t'aime en même temps. Je me sent idiote, idiote de t'avoir aimer, idiote de continuer à avoir des sentiments pour toi, et surtout idiote de souffrir pour tout ça. Je devrais en rire, oublier, ne pas y penser, comme j'ai l'habitude de faire. Mais je ne peux pas, je te vois chaques jours, j'ai mal, je te veux, et en même temps je veux que tu te tienne à distance de moi.
"Pauline est trop gamine". "J'aime Lucile, mais je t'aime aussi toi", "Je n'arrive pas à être naturel avec toi", "tu es trop parfaite", "je t'aime", "je l'aime", "je suis un connard", "non ne tkt pas je rompt avec elle cette aprem", et elle a ces règles", "je t'aime", "je vais rompre avec pauline que tu veille de moi ou non", "j'ai fais mon choix, je crois que j'aime pauline", "je me suis trompé c'est toi que j'aime et j'ai honte de se que je t'ai fais".
QUE FAIRE APRES TOUT CA ?!
Lui pardonner, le haïr.
Je ne peux que me rendre à l'évidence, il me prend pour une conne.. Mais que faire ? Je pense l'aimer, ou du moins, il m'y a obligé. En instaurant une passion pour moi, qui était réelle, bien réelle au debut.
Sortir avec son fantasme..! Ce n'etait pas une si bonne chose apparement. Tu as eu une trop grande estime de moi. J'ai été l'amoureuse parfaite, et ça je pourrai toujours m'en venter. Sans prétention aucune.
Maintenant que vais je faire ?
J'attends que tu rompt, si un jour tu le fais. La rupture en réalité ne m'importe peu, je veux juste que tu sache si tu l'aime encore ou pas..réellement.
Tu dis m'aimer, mais je sais que c'est une vague idée qui germe au fond de toi. Je suis moins chiante qu'elle, plus belle... même objectivement, je sais qu'à tes yeux je suis milles fois mieux, pourtant tu l'as bien choisi. Alors que faire ? Retanter quelque chose, pour qu'au final je repasse pour une grosse conne, pour que le même scénario se répète ?!
Toutes mes amies te detestes, j'aimerai être comme elles, n'avoir que tu dégout, et peu d'intéret pour ta personne. Sans mentir, ce n'est absolument pas le cas.
Certain jour je me dis que tu ne vaut vraiment rien, et que te perde à été une "bonne chose". Puis, je te recroise, et j'ai encore mal, je te "parle", et cette gène instauré me fait souffrir, horriblement.
Tu joue avec moi, tu joue avec nous. Tu adore ta position, le fait d'être un connard comme tu aime à le dire. Je le sais thomas, ça ne sert à rien de le nier.

17 janvier 2009

Une nouvelle envie d'écrire en ce samedi. Un

Une nouvelle envie d'écrire en ce samedi. Un samedi particulièrement calme, particulièrement peu intéressant.

Je peux enfin dire que j'ai quitter cette période.. La période horrible que j'ai traversé. Sans intérêt, sans amour, sans vie. C'est le passage en 2009 qui a fait bouger les choses ? Jamais je ne le saurais.
Après une longue nostalgie à base de Jean-pierre, où est tu ? Pourquoi m'oublier.. pourquoi. T'effacer de ma vie, moi qui aurait voulu, je crois, te garder. Puis, je tire un trait. Trop vieux pour moi, ou du moins une vie trop en décalage. La fin de notre aventure fut aussi étrange que son commencement.
Et puis, on passe aux Thomas(s). Des thomas ... au pluriel.
Ce nouvel an psychédélique. Thomas, tu inaugure ma nouvelle année. Ce soir, c'est juste moi, tu ne pécho personne d'autre hein.
Puis, en suit d'une soirée au Truskel.. Vendredi soir. Tristesse. Thomas, Milan, hum, nothing.
Et c'est là que tu arrives, toi, mon Thomas. Un échange facebook, puis msn. Même lycée..même attirance. "Enfaite g d'eu te croizé plusieur fois au lycée et a chaque fois jme dizai que tetai la meuf la plus class du lycée donc jvoulai te le dire koi". Un commence tout bête, qui pourtant pose rapidement les bases: On se plais.
S'en suit de longue discutions via msn. Puis enfin, après quelques épisodes, nous voilà ensemble. Mais dès le debut, deux jours après l'ouverture de cette relation, tout ne va déjà pas completement bien : Je serais trop parfaite. Un compliment qui cache plein de chose. Le fait que je ne suis pas moi même avec lui ? Et que lui n'arrive pas non plus à l'être ? Une gène.
J'ai l'impression d'être un objet precieux pour lui, il sentirait presque que je ne le mérite pas. Que de bétises.
Je vois comment va évoluer notre relation.
Premier statut en couple sur facebook. Une lueur sentimentale.
Je l'aime ?

30 novembre 2008

La première vraie cuite.Moins de 24h après,

La première vraie cuite.
Moins de 24h après, toujours cette odeur d'alcool dans la gorge.
Assise par terre, le regard vague, flou. Béger.

Soirée décadence. Choper un gay.. A marquer dans les annales n'empêche. Pourquoi est-il gay d'ailleurs ? Ce petit plus dans le visage qui fait toute la différence, un charme inexplicable. Maxime.

Et Jean-Pierre dans tout ça ?
Truskel.
"Elle est restée à la soirée où on etait avant". "Ah okay". Tu ne dis pas plus ? Que fait on ? Qui somme nous l'un pour l'autre ?
Moi qui chope n'importe qui, et meurt dans un appart inconnu, et toi qui ne me donne aucune nouvelle, jamais.
Je suis jeune, j'attends le temps. J'aimerais avancer dans le temps, sans pour autant perdre une seconde de ma vie. Rien n'est jamais bien clair.   

28 novembre 2008

Et maintenant ? Que fais-je ? Ou vais-je ?

Et maintenant ? Que fais-je ? Ou vais-je ?

J'avance, pas tout à fait droit pourtant.

 

J'ai perdu Jean-pierre. Ou alors c'est moi qui suis sa perte. Mon importance à ces yeux n'a fait que diminuer, ou plutôt, elle paraissait tellement haute au départ, qu'augmenter elle n'aurait pu.
Ne m'oublie pas... Aime moi.
J'ai envie de passer à autre chose, mais je suis au fond, tout au fond, rien qu'un petit peu bloqué, enchainer à lui. L'image de cette "dernière nuit d'adieu" qui résonne si fort au fond de moi. Ça me plait, rien que par l'image, pourtant ce n'est pas glorieux, surtout quand cette hypothèse n'est trouvé que bien après. Notre dernière nuit d'adieu.. Qui au début dans ma tête germait comme Notre première nuit de couple, ou du moins d'amoureux.

 

Je suis forte pour ne penser a rien, évacuer les penser obscures, destructrices. Les remords, les tristesses, les désillusions. Tous ces mots qui font mal au cœur rien qu'à les lire..
Je n'avais besoin d'aucune relation sérieuse. Est ce vrai ? Ou est ce un moyen réducteur, qui ne servirait qu'à me voiler la face. Mon slogan fut il n'y a pas si longtemps Jean-pierre ou personne.. J'essaie de l'oublier, d'éloigner cette phrase loin, loin. Elle reste pourtant j'en suis sur..Malgré le fait que j'essaie de me résoudre au contraire.
Et le gars du lycée, j'aimerai tant tenter quelque chose, vraiment. Un bad boy, sale sur lui. Une attirance inéxpliquer que je ne suis malheureusement la seule à éprouver en ce moment. Un besoin de changer de décor, de vivre pour moi, de rencontrer de nouvelles têtes, de passer de bons moments.

Une envie de changements.

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28 novembre 2008

J'ai envie d'écrire ici ce soir, quelque chose de

J'ai envie d'écrire ici ce soir, quelque chose de succinct, de surment pas très réfléchie.
Mais avant tout, il faut, je pense, remettre au gout du jour ce blog, ou en est ma vie ? Ou en suis-je ?
Reprenons où nous nous étions arrêter.

Je dois avouer, avec tristesse, que le précédent article m'amuse... Le relire est ce rendre compte du changement complet qu'il a pu se produire en quelques mois, que ce soit autours de moi, mais aussi, et surtout, dans ma tête.

Rocky. Un souvenir. Une jolie petite histoire, un mois, presque deux, écourté, déchiré à cause de moi.
Le fait d'éprouver rien qu'une once de nostalgie aurait pu être fortement poétique, pourtant, même pas, je ne crois pas.
Mais avant tout, je colle ici, le texte le plus horrible, ou du moins, le texte le plus vrai que je n'ai jamais écrit. Il reflète mon état le soir du 31 octobre..
Jamais je ne fus plus bas que ce soir là, une tristesse enfoui, un malheur infini. Relire fait comprendre, et je pense avancer, ne jamais permettre qu'un jour une configuration de la vie fasse que je me retrouve dans le même état que le soir de l'écriture de ce texte :

 

 

23 :27, je peux lire cette horrible heure à l’écran de mon ordinateur.. Horrible heure, pour une horrible soirée, quoi de plus logique.  

Je me sent mal, je me suis déjà senti plus mal, enfin je crois, mais celui-ci est un mal bien ancré quand même.. en réalité, c’est peu être un mal, et une honte de sois…Honte de se qu’on a fait..honte ? Non, en réalité ce n’est pas de la honte, c’est de la hantise. J’ai été sotte, j’ai été vite, qu’ai-je fais. Cet acte qui paraissait anodin au début de la journée, et encore plus encore il y a quelques jours, me parait être maintenant le commencement d’une nouvelle chose, ou la fin d’un temps, ça dépend de comment on voit ça. J’ai brisé beaucoup de chose en une soirée, et beaucoup de choses se sont brisé en moi également.

Rompre. Qui a le plus mal ? Celui qui rompt, ou bien celui qui encaisse la rupture. Ce soir, je pense pouvoir me placer, je pense que celui qui rompt à le plus mal, ou du moins à la plus peur. Peur de l’avenir, peur de ce qu’il a fait, peur d’avoir fait une erreur, si grosse.

Après tout, ça ne fais qu’une semaine que je remets tout en question, c’est peu, mais cette réflexion me paraissait réfléchie. Elle me le parait beaucoup moins maintenant

Jean-Pierre, pour toi je ferais tout. C’est affreux de le dire, mais c’est encore plus affreux quand on se rend compte que ce qui est dit peut être fait. Je ne sais que penser de toi. Ce que j’ai vu ? Ce qu’on me dit ? Ce que tu me laisse penser ? Ce que tu laisse penser les autres ?

Pauline me soutient, Pauline te soutiens aussi d’ailleurs. Non. Tu ne peux pas être un minable, elle t’a vu, elle t’a parlé, elle t’a entendu près de moi, me dire toute ces choses, qui paraissaient, il n’y a encore que quelques heures, si vrais. On te trouve des excuses, un surpoids de boulot..Peut être. Mes autres amies, qui elles ne t’on jamais vu ne te laisse pas beaucoup de crédit.. « tu as fais une grosse erreur, il se fout de ta gueule ». Je ne peux nier que ce que je raconte de toi parait tellement fou et féérique, que moi-même j’arrive à douter que ce soit la vérité. J’embellis les choses ? Je les exagère!

J’ai peur de demain, j’ai peur de ton appel, ou plutôt j’ai peur qu’il n’y est pas d’appel. Je veux te voir, tellement. Je veux que tu me prennes dans tes bras, que tu me dises que tout va bien, que tu es là, que tu m’aime, et que j’ai fais le bon choix. Que je n’ai rien perdu, que je n’ai fais que gagner. Te croirai-je ? Bien sur, je te crois tout le temps.

En même temps, je me trouve si pathétique, je te connais depuis si peu de temps, j’ai l’impression d’être si bien près de toi, j’ai envie de ne jamais partir. Mais j’ai dis la même chose il y a presque 2 mois de Rocky, n’est ce pas ?C’est une punition, j’ai fais quelque chose de mal ? J’ai été trop heureuse peut être… Trop heureuse et trop bête.

J’écris et j’espère. J’espère tant de chose.. J’espère par-dessus tout que je relirais ce texte dans quelques jours en me disant qu’il n’y avait aucune erreur, et que oui, j’ai fais le bon choix. J’espère te voir demain, je ne l’espère même pas, je pris pour.

Tu étais mal, tu étais fatigué, voilà peut être l’explication… Peut être.. Malheureusement le doute est toujours là. Ce soir, oui, ce soir, on aurait pu être « officiellement » ensemble. Tu ne l’as peut être pas compris. Tu n’as peut être pas compris que c’était important pour moi. Ou peut être que ce soir je viens de briser toute les choses « officielles » de ma vie. Et peut être la plus belle, qui aurait, au fil du temps murit. Mais ne pensons pas à ce qui aurait pu se passer. Pensons à ce qui va se passer maintenant, que vais-je faire ? Que vais-je vivre. Je suis jeune, j’ai envie de me dire de ne pas me casser la tête… Mais là j’ai le cœur briser, casser.

Mélodrame ? Peut être. Mais je souffre. Mon tel sonne

« Mon tel sonne », les derniers mots que j’ai pu écrire avant de répondre, ils sont tellement significatifs pour moi. C’était lui, c’était toi. Jean-Pierre. Très court.. Très court, mais très vrai ? Tu es désolé, tu es mort de ta semaine de boulot. Je te crois, avec beaucoup de recul, mais j’essaie de te croire. Je fais pitié à voir, vraiment. « Je t’appelle demain ». « Je t’embrasse fort ».

 

 

 

 

 

 

 

 


7 septembre 2008

Souffrances

Je ne sais pas si c'est un phénomène de début d'année scolaire mais en relisant mon premier blog, écrit quasiment à la même période, un an plus tôt, j'en ai bien l'impression. Je vais mal, j'ai une boule dans le ventre, une énorme boule qui m'empêche de sourire.
Je n'aime pas ma classe, ça fait moins de trois jours que je l'ai découverte, et je la déteste déjà. Que des filles, pour deux garçons. Je les déteste toutes, toutes ces filles, je ne peux pas me mettre dans l'idée que je vais les supporter tous les jours. Je n'ai aucune amie, de réelle amie je veux dire. Une avec qui je peux parler, discuter, rigoler, sans me sentir juger.
Mais si il n'y avait que ça.

 

J'ai mal, mal. Je souffre intérieurement.
Je l'ai rencontré sur internet, original, drôle, asiatique, pas moche sur les photo..
Et si on se rencontrait ?
Et là... C'est mieux, mieux que je n'imaginais, mieux que tout. Mickey... le physique idéal, l'homme de mes rêve. Je ne peux le lâcher des yeux. Il est tout se que j'ai jamais imaginer rencontrer. L'innaprochable.
Et moi ? La gamine de 16 ans, qui n'arrive à aligner dix mot, qui ne sait apparemment que prononcer des je sais pas penaud. J'ai honte. Je me sens laide, inutile à côté de lui. Son air mystérieux et hautain n'arrange rien. J'ai l'impression qu'il se moque de moi, qu'il me laisse courir, seule, loin loin.
On s'embrasse. Je suis la conquête numéro combien ?
Je l'ai vu une après-midi, mais je sais qu'après ça, si il m'appelais, je serais capable de faire n'importe quoi pour lui. Je l'aime sans le connaître. C'est peut être charnel.. Je n'sais pas, mais je l'aime.
Et j'ai honte de moi, honte de ma prestation, honte de ma personne. Je suis sur qu'il ne veut plus me revoir.. mais je donnerais tout, tout pour que ce ne soit pas vrai. J'attends un mail, un sms, quelque chose. N'importe quoi.
J'en ai marre de toujours m'attacher à des choses irréelles. Je veux du concret. Je le veux.
J'ai envie de croire en lui, croire que ce n'était pas qu'un jeu pour lui. Tous ces gestes étaient réels ?

 

Maintenant j'attends. J'attends toujours. J'en suis toujours réduite à ça.

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10 février 2008

Different but shame

Musique aux oreilles, je me sens valser, tout paraît simple.
Je pense aux semaines passées, malgré le fait que je déteste penser au passé, ou même à l'avenir, n'accepter que de vivre et penser au présent. Pourquoi ? Surement parce que je n'en suis pas assez forte, la peur du futur est bien trop réelle pour moi, je préfère donc y échapper. Et devant le souvenirs de ces semaines, ces semaines presque irréelles, sur le moment bien trop dangereuses.. Ces soirées signées à l'alcool, à la folie. Ces soirées ou réfléchir restait un état d'esprit à mettre de côté... J'y repense, et elles me manquent.
L'ennui est le sentiment le plus désagréable de l'homme, la chose la plus dégradante. Quelqu'un qui ne s'emmerde jamais est quelqu'un d'heureux..

29 janvier 2008

Bientôt Fevrier

ça fait bien longtemps que je n'ai pas écrit ici. Pas grand monde ne me lit - pour ne pas dire personne - mais quand ai-je à faire.. Je viens de me rendre compte que se que j'écris, je l'écris pour moi, c'est quelque chose qui coule de source en réalité, et pourtant j'ai mis du temps, le temps qu'il me fallait pour m'en rendre compte.

Je vais au lycée chaque jours, je ramène des notes, plus ou moins bonnes, je bosse, ou fait semblant... Je sais que tout se décide maintenant, ou plutôt je sais que c'est ce que l'on veut me mettre dans la tête, mais après tout, et si ce n'était pas faux ?
L'ambiance n'a rien d'extraordinaire, Keith déprime, je ne sais pourquoi, une histoire familiale semble t-il. J'essaie d'égayer le mieux possible, et sans me venter, je pense que malgré tout, je fais beaucoup pour détendre le tout, et laisser une ambiance supportable..
Les amis sont là, et pourtant, je sent tout de même un vide. Et si ce n'était que l'amour ? Vouloir être aimer, si simple sentiment, chose que tout le monde, sans exception, veut vivre. Les hommes ne sont-ils pas sur Terre pour s'aimer.. Personnellement, je le pense. Sinon à quoi rime vivre.
La musique, la littérature, l'art, ne renfonce dans le fait que l'amour est tout. Quoi qu'il en soit.
Alors j'attends. Ma vie à toujours été une éternelle attente, j'en suis maintenant habituée.

Je me dis que j'ai tout, c'est vrai en plus. Des parents merveilleux, tout se dont j'ai besoin, peut être même trop... Des amis vraiment pas mal. Tout me souris. Ou tout devrait me sourire.

3 janvier 2008

2008

Une nouvelle année commence.
Prendre des résolutions. Pourquoi faire ? Pour ce rendre compte dans quel merdier j'étais en 2007... et fatalement dans lequel je serais toujours en 2008 ?
Arrêter en premier lieu de grandir hors du temps, à quoi cela m'avance t-il, si ce n'est à me dégoûter de moi même, encore plus.
J'ai honte de moi. Pour tout. J'ai honte de nous en réalité. Nous, car nous sommes tous pareils, tous les mêmes. Croyant innocemment que la vie est une fête, que fumer boire baiser nous rend plus fort. Sur le moment peut être..et même. Rien qu'une jeunesse pathétique. Tu es heureuse ? Je n'sais pas. Toute façon je ne sais rien, jamais.

Je t'embrasse. Je ne connais même pas ton prénom. Et même si je le connaissais que cela changerait-il ? Je ne t'aime pas, de te déteste. Je n'suis même pas capable de me respecter, comment pourais-je t'aimer. Je suis la suivante, et pourtant pas la dernière. Je passe après toutes ces filles, identiques à moi. Demain tu n'aura qu'un vague souvenir.. Alors que moi, je n'oublie jamais, rien.
J'aimerais tellement oublier tout, ne me rappeler que de l'essentiel. Et pourtant, chaque détails me reviennent, ils ne m'en manque aucuns.

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